Survie systémique au lymphome folliculaire

L’article « lymphome folliculaire » du WikiPédia francophone est effrayant.
Dans la Médecine Analytique Moderne, pas de salut hors un médicament nommé obinutuzumab dont les effets secondaires sont terribles. (1)
Ou bien rituximab qui est juste un peu mortel !!!

La Médecine Systémique Hypermoderne voit les choses TOTALEMENT différemment.
Avant de continuer la lecture, il faut découvrir quelques points-clés de la Médecine Systémique Hypermoderne :
Article : Cellule maligne, petite chose fragile
Article : Maladies similaires plus que différentes début de l’article
Article : Rémission spontanée, Descartes pleure
Article : Une cellule maligne, c’est comme une mauvaise herbe

Sauver sa peau par stratégie

L’article WikiPédia anglophone sur le lymphome folliculaire parle de RÉMISSION SPONTANÉE.
Ce qui nous intéresse, ce sont les rémissions dites spontanées qui ne sont pas le fruit du hasard.
Nous avons décrit comment le patient sauve sa peau par 9 tactiques au sein d’une Stratégie Systémique Hypermoderne.
Pour ne plus avoir de cellules malignes – mauvaises herbes, le patient retravaille complètement son métabolisme – sol.

Un truc …

La seule manière de savoir si ma maladie est mortelle, c’est d’en guérir !!!

En guérir ou, a minima, la CONTENIR afin qu’elle ne me tue pas.
C’est ce que je fais depuis 9 ans avec ma leucémie LLC.
Depuis peu, j’utilise des plantes pour tuer les cellules malignes – l’écorce de magnolia en particulier.
Dans un premier temps, j’ai découvert l’artémisia annua qui débarrasse mon sang des globules blancs crétins.

Je suis un patient-chercheur

Un jour, il y aura des laboratoires de recherche en Médecine Systémique Hypermoderne.
Des patients volontaires collaboreront avec les chercheurs pour mettre au point les stratégies et affiner les tactiques.
En attendant, c’est le patient qui fait le boulot de chercheur.
Comme au bon vieux temps : essai et erreur.
Il n’est pas seul, d’autres patients font la même chose que lui.
La démarche de certains fait l’objet de publications académiques – thèse de Kelly Turner, etc.

Précaution sans excès

Par exemple, la pervenche – Catharanthus roseus ou Vinca rosea – est une tueuse de cellule maligne.
Mais … si j’en prends une dose quotidienne trop élevée, attention les dégâts sur mon système nerveux, etc.
Je dois trouver la dose suffisante pour tuer les cellules malignes sans faire de dégâts colatéraux.

Retenir qu’il y a des similarités entre maladies des globules blancs

Mon expérience avec la leucémie LLC peut permettre d’inspirer un patient avec autre chose.

Laisser le temps au temps

Drôle d’expression.
J’ai mis sept mois à me débarrasser de deux tumeurs qui n’étaient pas volumineuses du tout.
Une vertu fondamentale pour la Survie Systémique Hypermoderne est la PATIENCE !

La leçon des « rémissions spontanées »

Nous avons parlé des dites rémissions spontanées qui sont en fait, le fruit de la stratégie du patient pour s’en sortir.
Il y a quelque très rares cas où c’est un événement qui re-déclenche les défenses immunitaires – biopsie, infection, etc.
Papac évoque des types de tumeurs rares parce que naturellement fragiles. Papac 1996 ; Papac 1998 ;
Quelques cas rapportés par (Snijder et al. 2019).
Et aussi Ogawa 1998 ; Khan et al. 2016 ; Morigi et al. 2019 ; Furukawa et al. 2021 ; Illán-Gambín et al. 2020 ; Ohmoto & Fuji 2025 ;

Confirmation que les cellules malignes sont vulnérables

On a vu qu’il existe 9 moyens de tuer les cellules malignes.
Les observations de rémissions évoquées juste avant montrent qu’un seul de ces moyens – le réveil des cellules immunitaires T – peut amener la disparition de la maladie.

Un espoir pas si fou que ça

Ce que nous venons de voir dans le présent article et dans les articles en amont prête à penser qu’il n’est pas fou d’espérer se débarrasser – ou, a minima, de contenir – une maladie à cellules malignes.

Et, en particulier, un lymphome folliculaire.

Notes

(1) Obinutuzumab https://www.drugs.com/sfx/obinutuzumab-side-effects.html
Traduction ChatGPT.

Ce médicament peut provoquer une réactivation du virus de l’hépatite B. Contactez immédiatement votre médecin si vous présentez des symptômes de troubles du foie, tels qu’un jaunissement de la peau ou des yeux, une urine de couleur brun foncé, une douleur du côté droit de l’abdomen, de la fièvre ou une fatigue intense.

Ce médicament peut augmenter le risque de développer une infection cérébrale grave et rare appelée leucoencéphalopathie multifocale progressive (LMP). Contactez immédiatement votre médecin si vous présentez des troubles de la vision, une perte de coordination, de la maladresse, des pertes de mémoire, des difficultés à parler ou à comprendre ce que disent les autres, ou une faiblesse des jambes.

Ce médicament peut provoquer une réaction à la perfusion dans les heures qui suivent son administration. Contactez immédiatement votre médecin si vous ressentez une douleur thoracique, des démangeaisons, de l’urticaire, une éruption cutanée, des bouffées de chaleur au visage, des étourdissements, des évanouissements, une sensation de tête légère, des difficultés à respirer, un gonflement du visage, de la langue ou de la gorge, de la fièvre ou des frissons.

Ce médicament peut provoquer un type de réaction grave appelé syndrome de lyse tumorale. Votre médecin pourra vous administrer un médicament pour aider à prévenir ce syndrome. Contactez immédiatement votre médecin si vous constatez une diminution ou un changement de la quantité d’urine, des douleurs, raideurs ou gonflements articulaires, des douleurs au bas du dos, sur les côtés ou à l’abdomen, une prise de poids rapide, un gonflement des pieds ou des jambes, ou une fatigue ou une faiblesse inhabituelle.

L’obinutuzumab peut temporairement diminuer le nombre de globules blancs dans votre sang, augmentant ainsi le risque d’infection. Il peut également diminuer le nombre de plaquettes, nécessaires à une bonne coagulation du sang. Si cela se produit, certaines précautions peuvent être prises, surtout lorsque votre numération sanguine est basse, afin de réduire le risque d’infection ou de saignement :

  • Si possible, évitez les personnes atteintes d’infections. Contactez immédiatement votre médecin si vous pensez être en train de développer une infection ou si vous présentez de la fièvre, des frissons, de la toux, un enrouement, des douleurs au bas du dos ou sur les côtés, ou une miction douloureuse ou difficile.
  • Contactez immédiatement votre médecin si vous remarquez des saignements ou ecchymoses inhabituels, des selles noires et goudronneuses, du sang dans l’urine ou les selles, ou de petites taches rouges sur la peau.
  • Soyez prudent lorsque vous utilisez une brosse à dents, du fil dentaire ou un cure-dents. Votre médecin, dentiste ou infirmier(ère) pourra vous recommander d’autres méthodes pour nettoyer vos dents et vos gencives. Consultez votre médecin avant tout soin dentaire.
  • Ne touchez pas vos yeux ou l’intérieur de votre nez à moins de vous être lavé les mains et de ne rien avoir touché depuis.
  • Faites attention à ne pas vous couper en utilisant des objets tranchants comme un rasoir de sûreté ou un coupe-ongles.
  • Évitez les sports de contact ou toute situation pouvant entraîner des ecchymoses ou des blessures.

Ce médicament peut provoquer un trouble grave de la coagulation sanguine, y compris une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD). Contactez immédiatement votre médecin si vous présentez du sang dans les selles ou dans l’urine, des ecchymoses, de la confusion, des crachats ou vomissements de sang, des saignements persistants ou des suintements au niveau des points de ponction, de la bouche ou du nez, une éruption cutanée, ou des difficultés respiratoires.

Pendant le traitement par obinutuzumab et après l’avoir arrêté, ne recevez aucune vaccination (immunisation) sans l’accord de votre médecin. L’obinutuzumab peut diminuer la résistance de votre organisme, et le vaccin peut ne pas être aussi efficace, ou vous pourriez attraper l’infection que le vaccin est censé prévenir. De plus, vous ne devez pas être en contact avec des personnes de votre entourage ayant reçu des vaccins à virus vivants, car elles pourraient vous transmettre le virus. Parmi les vaccins vivants figurent notamment ceux contre la rougeole, les oreillons, la grippe (forme nasale), la poliomyélite (forme orale), le rotavirus et la rubéole. Ne vous approchez pas de ces personnes et évitez de rester longtemps dans la même pièce qu’elles. Si vous avez des questions à ce sujet, parlez-en à votre médecin.

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