Dans tous les coins du monde occidental, des médecins prescripteurs de molécules industrielles s’interrogent :
Sommes nous ridicules face à l’Intelligence artificielle ?
Je les rassure, la réponse est :
Oui ! En particulier pour toutes les maladies carentielles dégénératives.
La preuve ?
Lecteur, regarde ce que disent les médecins pour un début de Parkinson et ce que dit ChatGPT !!!
Lecteur, comme tous les être humains, tu es ou tu seras en situation carentielle dégénérative.
L’IA te dira quels compléments – minéraux, vitamines, plantes, Ubiquinol, etc. t’éviteront de devenir con, invalide ou mort.
Je te laisse interroger ton toubib pour lui demander sa recette pour ne pas devenir con, invalide ou mort.
Voici donc la réponse de ChatGPT :
Première question : Quels sont les plantes et compléments utiles dans la maladie de Parkinson ?
La maladie de Parkinson (MP) est une affection neurodégénérative chronique et progressive. Le traitement principal reste médicamenteux (lévodopa, agonistes dopaminergiques, inhibiteurs de la MAO-B), associé à la kinésithérapie, et parfois à la stimulation cérébrale profonde.
Cependant, beaucoup de personnes s’intéressent aux plantes, nutraceutiques et approches complémentaires pour aider à modérer les symptômes ou ralentir la progression. Voici un résumé des options les plus étudiées :
🌿 Plantes et composés naturels
- Mucuna pruriens (pois mascate, fève veloutée)
- Contient de la lévodopa naturelle.
- Certaines études montrent une amélioration des symptômes moteurs comparable à la lévodopa synthétique, parfois avec moins d’effets secondaires.
- Doit être pris sous surveillance médicale, car il peut interagir avec les traitements classiques.
- Thé vert (EGCG – épigallocatéchine gallate)
- Antioxydant et neuroprotecteur.
- Études animales encourageantes ; preuves limitées chez l’humain.
- Curcumine (curcuma)
- Anti-inflammatoire et antioxydante.
- Pourrait réduire le stress oxydatif et l’agrégation des protéines dans la MP, mais son absorption reste faible.
- Ginkgo biloba
- Améliore la microcirculation et possède des propriétés antioxydantes.
- Quelques bénéfices cognitifs rapportés, mais peu de preuves solides dans la MP.
- Resvératrol (raisin, fruits rouges)
- Anti-inflammatoire, soutient la fonction mitochondriale.
- Résultats prometteurs en laboratoire ; données humaines limitées.
- Coenzyme Q10 (pas une plante, mais un composé naturel)
- Antioxydant, soutient les mitochondries.
- Premières études encourageantes, mais essais cliniques plus larges non concluants.
🍄 Autres compléments naturels
- Vitamine D
- Souvent basse chez les patients parkinsoniens.
- Utile pour la santé osseuse, la prévention des chutes et possiblement neuroprotectrice.
- Oméga-3 (huile de poisson, lin, chia)
- Anti-inflammatoires, neuroprotecteurs.
- Peuvent améliorer l’humeur et réduire l’inflammation chronique.
- Probiotiques & aliments fermentés
- Le microbiote intestinal joue un rôle dans la MP.
- Peuvent aider à réduire la constipation et l’inflammation.
🧘 Modes de vie et approches complémentaires
- Exercice physique (tai-chi, yoga, danse, musculation) → efficacité démontrée sur la motricité, l’équilibre et l’humeur.
- Pratiques corps-esprit (qigong, méditation, pleine conscience) → amélioration de la qualité de vie et réduction du stress.
- Musicothérapie & orthophonie → bénéfices sur la parole, l’humeur et les mouvements.
- Acupuncture → effets variables selon les études, mais certains patients rapportent un soulagement.
⚠️ Points importants
Toujours en discuter avec un neurologue avant de commencer, surtout pour Mucuna pruriens ou tout produit influençant la dopamine.
Naturel ≠ sans danger : attention aux interactions (surtout avec la lévodopa).
L’efficacité varie — ces approches sont complémentaires et non un remplacement des traitements classiques.
Seconde question : Quels sont les effets secondaires de lévodopa, agonistes dopaminergiques et inhibiteurs de la MAO-B ?
💊 1. Lévodopa (souvent associée à la carbidopa ou la bensérazide)
- Effets digestifs : nausées, vomissements, perte d’appétit.
- Hypotension orthostatique : chute de tension en se levant.
- Troubles du sommeil : insomnie, somnolence diurne.
- Dyskinésies : mouvements anormaux involontaires (apparaissent après quelques années de traitement).
- Fluctuations motrices : alternance entre périodes « on » (mobilité normale) et « off » (rigidité, lenteur).
- Hallucinations / confusion : surtout chez les patients âgés ou fragiles.
💊 2. Agonistes dopaminergiques (pramipexole, ropinirole, rotigotine, apomorphine…)
- Digestifs : nausées, vomissements, constipation.
- Somnolence excessive : parfois endormissements soudains (danger en voiture).
- Hallucinations, confusion : risque plus élevé chez les personnes âgées.
- Hypotension orthostatique.
- Œdèmes des jambes.
- Troubles du contrôle des impulsions : comportements compulsifs (jeu pathologique, hypersexualité, achats compulsifs, alimentation excessive).
💊 3. Inhibiteurs de la MAO-B (sélégiline, rasagiline, safinamide)
- Maux de tête.
- Insomnie (surtout avec la sélégiline prise en fin de journée).
- Nausées, douleurs abdominales.
- Hypotension orthostatique.
- Agitation, hallucinations (rare).
- Interactions médicamenteuses : prudence avec antidépresseurs, certains analgésiques (risque de syndrome sérotoninergique).
⚖️ En résumé
- Lévodopa → plus efficace, mais à long terme dyskinésies et fluctuations motrices.
- Agonistes dopaminergiques → utiles surtout chez les patients jeunes, mais attention aux troubles du comportement et à la somnolence.
- MAO-B inhibiteurs → effet plus modeste, souvent utilisés en complément, tolérance généralement bonne mais vigilance aux interactions.
Illustration
Fleurs de Mucuna pruriens
Source WikiMédia Agong1
